Jamais Plus Le Silence !

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Osias Pierre Richard
Fondateur de Kafe Byen Cho (Facebook groupe).
Pierre Richard Osias
Jamais plus le silence!
“Résister, C’est le début de la victoire.” Jamais plus le silence! Le moment de la participation est paru pour les jeunes haïtiens de partout. Il est temps d’enlever le museau de l’intimidation. D’ailleurs nous nous sommes tus trop longtemps. Le moment est venu de mettre notre vigueur au service nécessiteux de la mère patrie, Haïti.
Les politiciens “rorotes ” d’hier et d’aujourd’hui l’ont tachée de leurs mains et de leurs pieds couverts de sang. Et tous ceux qui leur ont permis de poser ces actes en porteront l’entière responsabilité ici et ailleurs, aujourd’hui et toujours. Jeunesse Haïtiennes faisons de notre sang l’encre d’une plume pour faire ressortir la beauté de notre chère Haïti et aussi de démasquer la stratégie de tous ceux qui sont en train de travailler pour sa destruction.
C’est nous, jeunesse de mon pays qui devons être l’avocat pour défendre le visage de la mère patrie sous les bottes blasphématoires de l’étranger. C’est nous jeunesse de mon pays qui devons être la porte parole des enfants qui naissent sur la terre voisine afin qu’ils puissent trouver justice contre le système discriminatoire Dominicain.
C’est nous, Jeunesse de mon pays qui devons être la voix pour les sans voix qui sont encore l’objet des arrestations arbitraires et des libérations encore plus pires sous la main d’un gouvernement dictatorial incompétent. C’est nous, jeunesse de mon pays qui devons la vue pour la masse qui est entrain d’être traînée dans la misère noire. C’est nous, jeunesse de mon pays qui devons être les pionniers pour revaloriser la fierté de la terre mère. Jamais plus le silence ! Jamais plus le silence ! Jamais plus le silence ! Comme l’a dit Martin Luther King : « Ils pensent que notre mort commence le jour où nous faisons le choix de rester silencieux concernant les sujets qui devraient nous mobiliser. »
Les opinions et commentaires exprimés dans ce texte sont ceux de Pierre Richard Osias.